
Asap rocky, autoproclamé le « pretty mother fucker », leader du collectif AsAp MoB, nous sort son opus (je fais court niveau présentation, j’ai la galette des rois qui m’attend)
Une longue attente…
Long Live Asap, longtemps repoussé, pour des raisons de droits d’auteurs, l’attente se faisait longue autour de cet opus, je l’attends depuis des mois, comme une lycéenne américaine attends le bal de promo, et là en ce 15 janvier, la délivrance arriva, l’opus tant attendu est dispo.
Le premier single « Goldie » sorti en avril m’avait mis l’eau à la bouche, un rap plein d’ego trip, porté par une instru simpliste mais entêtante, rappelant la cuisine magique de purple swagg!
Le deuxième single, « Fuckin problem », m’a quand à lui déçu, non pas au vu des feats (Drake, Kendrick Lamar et 2 Chainz), mais au cruel constat qu’Asap rocky s’est fait surclasser sur son single notamment par Kendrick (toujours lui) réalisant un dernier couplet d’une qualité rare.
Verdict
En tant que gros fan de la première heure, je ne voulais pas juger trop vite, et après écoute complète de l’album, Asap rocky nous signe un album cohérent, s’appréciant sans doute encore plus sous codéine ( j’en cherche si quelqu’un a des plans), c’est un univers qui s’offre à vous, un album qui s’écoute au calme, après une grosse journée de taf, c’est un digne représentant de la génération y (génération de branleurs)!
Mention spécial pour la track « Phoenix » (produit par Danger Mouse, membre de Gnarls Barkley), il prouve avec ce son un réel talent. tu vois Asap quand tu ne parles pas que de pussy, money, weed and co, c’est bien aussi!
Johnwait.net – Mo Mad.